Voulant jouer le rôle de facilitatrice entre un gouvernement décidé à faire passer coûte que coûte sa loi Mayotte et une société mahoraise vent debout contre la version actuelle du texte, la présidente de l’Assemblée nationale achève une visite officielle de trois jours sur le territoire. Elle a vu et entendu un peu tout le monde sans pouvoir donner les garanties attendues.