Une nouvelle présidente au tribunal judiciaire de Mamoudzou
Le premier conseil des prud’hommes donne ses pouvoirs aux femmes
Salime M’déré jugé en février pour provocation à la commission d’atteintes à la vie
4 ans de prison ferme pour l’agression sexuelle de trois mineures de moins de...
Surpris, les voleurs de cigarettes avaient ligoté le gardien
Aide aux victimes : “On s’est dit qu’il faut faire quelque chose”
Après la noyade de trois enfants mahorais en 2018, leur belle-mère condamnée
Le procès de TV Mafoumbouni se tiendra le 5 avril
Aide juridictionnelle : Une extension aux étrangers en situation irrégulière déjà la norme à Mayotte
Affaire Roukia : Les agents du GIR ont-ils commis un homicide involontaire?
Favoritisme : Majani condamné à 12 mois de prison avec sursis
Le tribunal correctionnel a condamné hier le maire de Mamoudzou à douze mois d'emprisonnement avec sursis et à 10.000 euros d'amende pour délit de "favoritisme" dans l'attribution de marchés publics. Trois cadres de la Ville ainsi que la gérante d'un cabinet d'architectes ont également écopé de peines allant de deux à dix mois d'emprisonnement avec sursis. En revanche, aucune sanction d'inéligibilité n'a été retenue par le tribunal. Le parquet a dix jours pour faire appel de la décision.
Le maire de Tsingoni condamné à douze mois de prison avec sursis
Assises : Des jumeaux accusés d’une tentative de meurtre à la hache pour un vélo
Il harcèle son ex-conjointe après avoir tenté de la tuer
Un Mahorais, actuellement détenu en métropole, a été jugé mercredi, à Kawéni, pour des faits de harcèlement à l'encontre de son ancienne conjointe. Déjà condamné pour tentative d'homicide envers cette même personne, l'homme envoyait à sa fille des courriers "très suggestifs".
Rapt de Petite-Terre : après l’appel devant la chambre de l’instruction, case prison et « tournure...
Rendue ce jeudi en appel devant la chambre d’instruction de La Réunion, la décision de placer les quatre hommes mis en cause dans l’affaire du rapt de Petite-Terre n’est pas sans soulever de questions selon leur avocat. Me Nadjim Ahamada dénonce notamment une violation des droits de la défense et une motivation politique à l’endroit des divers collectifs contre l’insécurité qui affichent un soutien farouche à ses clients.