« Il me restait un CV quand je suis passé devant le tribunal »
Travail dissimulé : « Bah, c’est ça ou ils crèvent de faim »
Trafic de stupéfiants : relaxe dans l’affaire du GIR, dix ans après la mort de...
Justice à Mayotte : « Placer automatiquement les personnes en quatorzaine est contestable »
Le juge des libertés et de la détention est venu ce dimanche, pour la première fois sur le territoire, donner raison à une justiciable contestant l’arrêté préfectorale de mise en quatorzaine pour les passagers provenant de métropole. Explications.
Accident mortel à Sakouli : le conducteur du pick-up condamné à quatre ans de prison...
Comores : deux ans après, le décès du journaliste Ali Abdoul toujours pas élucidé
La prison de Majicavo, soupape percée du territoire
Comores : Un célèbre coach de football accusé de viol
Cinq ans d’inéligibilité requis contre Ramlati Ali
Vingt ans de prison pour celui qui a tué un habitant de Chiconi à...
Les élus contestataires font condamner le maire de Chirongui
4 ans fermes pour le chef d’un réseau de kwassas
Le tribunal correctionnel de Mamoudzou jugeait hier une affaire de trafics de clandestins entre Anjouan et Mayotte. 7 personnes comparaissaient pour des faits remontant à 2016. Ils ont été reconnus coupables d’aide à l’entrée ou au séjour irrégulier d’étrangers sur le territoire national en bande organisée. Leur chef a écopé de 4 ans de prison fermes.
Comores : la cour de sûreté de l’État, arme de musellement d’Azali Assoumani ?
Jusqu’à 12 ans de réclusion criminelle pour les auteurs d’un caillassage visant le second...
Ewa : 60 000 € de pertes à cause d’une partie de jambes en l’air
L'ex-comptable de la compagnie aérienne Ewa Air comparaissait hier devant le tribunal correctionnel de Mamoudzou pour des faits présumés d'escroquerie, abus de confiance, vols et usage de faux en écriture commis en 2016.
117 personnes dans un logement indigne à Mayotte : le propriétaire de la “maison des...
La bâtisse rose et délabrée s’élève à côté des locaux de Solidarité Mayotte. Depuis des années, des centaines de demandeurs d’asile originaire de l’Afrique des Grands Lacs y ont trouvé refuge, dans l’attente d’une réponse positive de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) sur leur statut. Or, ce mercredi au tribunal correctionnel de Mamoudzou, c’est le propriétaire des lieux qui était appelé à la barre. Ce qu’on lui reproche ? Avoir soumis des personnes vulnérables à des conditions d’hébergement incompatibles avec la dignité humaine, et aidé au séjour de personnes en situation irrégulière sur le territoire. Des faits passibles respectivement de 5 ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende et 3 ans de prison et 50.000 euros d’amende. “Les personnes mentionnées sont vulnérables, certaines fuient la guerre. Et c’est d’ailleurs pour ça qu’elles acceptent ces conditions”, insiste la substitute du procureur.