L’ecolodge Jardin Maoré, situé au sud de l’île à N’gouja, dans la commune de Kani-Keli, offre un cadre paradisiaque à ses clients. De nouvelles chambres et bungalows ont été construits durant ces trois dernières années, semées d’embuches. Un projet mené dans le respect de l’environnement.
Sept nouveaux bungalows et vingt nouvelles chambres. Le Jardin Maoré s’est agrandi. Les travaux ont commencé en 2020, et la première tranche s’est achevée cette année. Tous les logements sont livrés et peuvent déjà être loués. La particularité de ce projet ? Il est entièrement respectueux du site. « Nous avons réalisé par exemple des fondations par pieux vissés, technique réversible, qui évite les mouvements de terre. On peut souligner également l’excellente isolation des ouvrages, gage de réduction de la consommation d’énergie mais surtout amenant un grand confort à nos clients », explique Karim Kardous le directeur de Jardin Maoré.
De plus, parmi ces nouvelles constructions, on compte un bungalow et une chambre accessibles aux personnes à mobilité réduite. Avoir un établissement écologique est primordial pour les gérants. Dans les prochaines semaines, il est prévu d’installer un système de photovoltaïque qui produira une partie de l’énergie consommée. « Tout ce qu’on génère comme énergie électrique nous le consommons et ce qui n’est pas consommé immédiatement est stocké sous forme de chaleur (eau chaude) et de froid », ajoute le directeur. Ce dernier souligne qu’ils ont une approche environnementale globale.
En parallèle, le parking a également été rénové, ainsi que la route d’accès, qui était autrefois en mauvais état, en partenariat avec la mairie et le conseil départemental.