Une casse sur le réseau entraîne une coupure d’eau dans le nord de Mayotte
“À la FMAE, on a toujours privilégié la co-construction”
Pêche illégale : Près d’une tonne de poissons saisis au port de M’tsapéré ce lundi
« Si on connaît les enjeux, on est conscient de la nécessité de protéger le...
Au lycée de Pette-Terre, les jeunes sensibilisés à la qualité de l’air
L’association Les Naturalistes victime de « menaces » à M’tsamoudou
Crise de l’eau : La potabilisation débute à la rivière Coconi
Mayotte en vigilance orange fortes pluies et orages jusqu’à vendredi après-midi
Jean-François Carenco : « La biodiversité mahoraise est une richesse pour la France »
Edeis, allié de Pamandzi, pour nettoyer le littoral près de l’aéroport
Des étudiants mahorais retranchés pendant le passage de Belal à La Réunion
La préfecture de Mayotte met en garde contre des risques de fièvre aphteuse
Crise de l’eau : la manifestation confirmée en Petite-Terre ce lundi
Un dispositif de distribution de bouteilles d’eau bientôt élargi
La première édition du rallye environnement à Chiconi fait un tabac
Chirongui s’attaque à ses épaves !
Ilot M’Tsamboro : Agriculteurs et autorités se parlent enfin
Naissance d’un volcan : quand les Mahorais s’en mêlent
La découverte du volcan sous-marin au large de Mayotte célèbre sa première année. À cette occasion, Flash Infos donne, tout au long de cette semaine, la parole à ceux qui, de près ou de loin, œuvrent pour une meilleure connaissance de ce phénomène naturel inédit qui évolue, chaque jour, sous le regard des Mahorais. Aujourd’hui, rencontre avec Saïd Saïd Hachim, géographe mahorais qui, des années plus tôt, émettait déjà l’hypothèse de la naissance d’un nouveau volcan, précisément dans la zone où celui-ci a été découvert en 2019.
“Confinement ou pas, la déforestation bat son plein à Mayotte”
De nouveaux chiffres viennent rappeler l’ampleur des défrichements à Mayotte, et la nécessité de déployer davantage de moyens pour protéger l’environnement du 101ème département. Or, les deux derniers mois de confinement n’ont sûrement pas arrangé les choses, s’inquiètent les associations.