Le Mistral ramène 500 tonnes de fret
Ce lundi, le Mistral accostait à Mayotte pour la deuxième fois. C'est au port de Longoni qu'il a déchargé ses 500 tonnes de fret alimentaire, sanitaire, et de fournitures diverses. Un déchargement qui s'est déroulé sous les yeux du préfet, Jean-François Colombet.
Mayotte : Éole 1er en plein cœur du cratère de Moya 2
Pour la première fois de sa jeune existence, le catamaran Éole 1er s'est engouffré dans le cratère de Moya 2. Une aventure dont rêvait son capitaine Patrick Varela qui a souhaité médiatiser cette étape pour rappeler les trésors cachés sur l'île aux parfums. Plongeon dans un écrin multicolore à bord de ce navire de 16 mètres.
Les Mahorais dans l’attente
C’est l'un des cinq piliers de l’islam et, chaque année, plusieurs centaines de Mahorais l’accomplissent. Cette année toutefois, le pèlerinage à La Mecque, le hadj, pourrait bien être annulé. Face à la pandémie mondiale, l’Arabie Saoudite prépare en effet les fidèles musulmans du monde entier à cette possibilité.
SMEAM : la nouvelle équipe face à une situation catastrophique
Les élus arrivés fin juillet sur les bancs du syndicat des eaux sont tombés des nues face à l’ampleur des problèmes qui touchent la structure. Rapports à l’appui, ils dénoncent la gestion calamiteuse de l’ancienne équipe, qui les pousse aujourd’hui à jouer la carte de la transparence, pour restaurer la confiance. Et tenter de sauver le syndicat...
Violences à Koungou : cent jeunes et un fou poussent la population à bout
Quatorzaine maintenue à l’arrivée en Outre-mer (mais pas en métropole)
Après un retoquage, lundi, par le Conseil constitutionnel, le projet de loi prolongeant jusqu’au 10 juillet l’état d’urgence sanitaire a finalement été validé. Pour les Outre-mer, cela signifie le maintien du placement en quatorzaine pour les voyageurs arrivant sur ces territoires, mais avec la possibilité de l’effectuer à domicile.
Violences obstétricales à Mayotte : Donner la vie a brisé la leur
Mouvement social à Mayotte : Le colonel Fabrice Terrien ne fait plus l’unanimité
Hier, lundi 24 août, les sapeurs-pompiers de Mayotte ont enclenché la grève du ras-le-bol. Du conseil départemental de Mamoudzou jusqu’au SDIS (service départemental d’incendie et de secours) de Kaweni, les secouristes ont manifesté envers et contre toutes les difficultés qu’ils rencontrent aussi bien dans leurs casernes que dans les lieux d’intervention. Au cœur de revendications ? L’insécurité et le départ imminent du colonel Fabrice Terrien, directeur de SDIS de Mayotte.
Affrontements au lycée de Kahani : une habitude avant les vacances scolaires
Tsingoni : un budget toujours dans le rouge, tacle la CRC
Les magistrats financiers ont rendu leur avis sur le budget de la commune, en redressement depuis 2016. Et la situation ne s’arrange pas vraiment...
Tourisme et loisirs à Mayotte : la remise en route
Après deux mois de confinement et d’activité économique au point mort, les offices du tourisme tentent de relancer leur structuration de l’offre touristique du territoire. Une structuration encore au stade embryonnaire, mais sur laquelle repose un espoir pour le département. Samedi, le Jardin d’Imany, exploitation qui tente par ailleurs de relancer la filière ylang-ylang sur le territoire, rouvrait ainsi ses portes en veillant à faire respecter les gestes barrières.
Reprise du projet de piste longue
Ersi Volonaki – Catégorie : Manager de l’année
Salaires en retard des policiers mahorais : Alliance Police Nationale monte au créneau
Trois gardes à vue, deux évacuations sanitaires : le lourd bilan des violences de vendredi...
Les élèves du collège de Doujani perturbent la grève de leurs enseignants
MCTP – catégorie : entreprise dynamique
Des tests non remboursables de 20 euros pour les voyageurs mahorais
Dernière marche du collectif des citoyens de Mayotte 2018 avant le chaos ?
Mercredi, plusieurs membres du collectif des citoyens de Mayotte 2018 se sont réunis à la MJC de M’Gombani pour annoncer une marche ce samedi entre Doujani et Mamoudzou. Remontés face à la recrudescence de la délinquance de ces derniers mois, ils exigent la venue du ministre de la Justice pour réaliser un diagnostic local. En cas de non-réponse satisfaisante, cette manifestation pourrait bien entraîner une nouvelle paralysie de l’île.