Alors que l’association anticorruption organisait sa première réunion publique à Mayotte, ce samedi, Jean-Émile de Bollivier nous avait expliqué la démarche d’Anticor sur le territoire mahorais. Nous sommes revenus avec l’administrateur de l’antenne réunionnaise sur la perte récente de l’agrément au niveau national. Il y était évoqué « une erreur de nom mal orthographié » par Jean Castex, le Premier ministre à l’époque. Il s’agit en réalité d’une erreur de droit. « Le Premier ministre en rédigeant cet arrêté a dit une chose et son contraire dans le même texte. Il explique en gros, que pour lui nous ne répondons pas aux critères de l’agrément et il nous le donne quand même. L’erreur de droit vient de là », nous corrige aimablement Jean-Émile de Bollivier.